Bourse Marcelle Blum

Cette bourse annuelle est destinée à récompenser des travaux de psychologie féminine.

Elle est octroyée sur proposition de la section Philosophie

Les lauréats
    • 2023 : Céline Masson et Caroline Eliacheff
    • 2022 – Bernadette Rogé, professeure émérite de psychologie à l’Université Toulouse – Jean Jaurès, pour ses travaux sur la détection précoce de l’autisme chez les bébés et l’observation d’un phénotype féminin de ce trouble du développement.
    • 2021 – non attribué.
    • 2020 – Arlette Pineau, psychologue, pour ses travaux dans le domaine de la psychologie du développement cognitif, en particulier les modalités de catégorisation des objets par les filles et les garçons.

    • 2019 – Catherine Chabert pour l’ensemble de son œuvre, en particulier Féminin mélancolique, Paris (Puf), 2003, et La jeune fille et le psychanalyste, Paris (Dunod), 2015.

    • 2018 – Claire-Lise Gaillard pour sa thèse « Le marché de la rencontre du XIXe au XXe siècle : une histoire des agences et des annonces matrimoniales », préparée à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

    • 2016 – Carol Mann, sociologue, présidente de Women in War, pour l’ensemble de ses travaux sur les femmes dans les conflits armés contemporains.

    • 2015 – Sabine Arnaud pour son ouvrage L’invention de l’hystérie au temps des Lumières (1670-1820), Paris (Éditions de l’EHESS), 2014.

    • 2008 – Juliette Rennes, Le mérite et la nature. Une controverse républicaine : l’accès des femmes aux professions de prestige, Paris (Fayard), 2007.

    • 2007 – Isabelle Collet pour L’informatique a-t-elle un sexe ? Hackers, mythes et réalités, Paris, l’Harmattan, 2006.

    • 2006 – Catherine Vidal et Dorothée Benoît-Browaeys pour leur ouvrage Cerveau, sexe et pouvoir, Paris (Berlin), 2005.

    • 2005 – Charlotte-Jeanne Simonin pour la poursuite de sa thèse Un nouveau regard sur le théâtre du XVIIIe siècle : Madame de Graffigny lectrice, spectatrice, critique et dramaturge.

    • 1996 – Emmanuelle Le Masne-Goacolou pour la poursuite de ses travaux sur la nation d’harmonie en musique et en psychopathologie, sous la direction de Sophie de Mijolla-Mellor.

    • 1994 – Renée Diot-Duriati pour son travail de recherches sur la femme en Allemagne.

    • 1993 – Catherine Malabou pour sa thèse sur Hegel.

    • 1991 – Monique Canto-Sperber pour l’ensemble de ses travaux.

    • 1990 – Anne Juranville pour sa thèse La femme et la mélancolie.

    • 1989 – Jacqueline Carroy pour l ‘ensemble de son œuvre.

    • 1986 – Sabine Prokhoris pour l’ensemble de ses travaux.

    • 1985 – Séverine Auffret pour son ouvrage Nous, Clytemnestre.

    • 1984 – Michèle Sarde pour son ouvrage Regard sur les Françaises.

    • 1982 – Christine Levêque pour ses travaux sur la littérature féminine à l’époque romantique.